Marie-Catherine regardant la vue sur la route de la corniche, Tarn-et-Garonne
Occitanie

Une escapade nature et gastronomique dans le Tarn-et-Garonne

Découvrir le Tarn-et-Garonne, c’est découvrir de l’inattendu. Inattendu par la diversité de son territoire : des vergers aux cités de caractère perchées, des falaises vertigineuses des Gorges de l’Aveyron aux champs de lavande du Quercy. Le Tarn-et-Garonne, un territoire méconnu entre Bordeaux et Toulouse, terrain idéal des amoureux de nature, du slow travel (l’art de prendre son temps), de gastronomie généreuse et d’authenticité.

Pour notre première fois dans ce petit coin du sud-ouest, nous y avons séjourné pendant 5 jours en juin 2022. Au programme de notre escapade : la découverte des Gorges de l’Aveyron, de jolis villages perchés, une sortie à vélo au bord du canal des deux mers, l’insolite lavande du Quercy. Une escapade slow life nature et gastronomique en Tarn-et-Garonne pour notre plus grand bonheur.

C’est où le Tarn-et-Garonne ?

Département 82 de France au cœur de la région Occitanie, le Tarn-et-Garonne s’est constitué sous Napoléon 1er en 1808 en annexant des territoires voisins à la demande des notables de Montauban. Il ne répond donc pas aux critères habituels de frontières naturelles. On dit même qu’il a été créé en prenant le plus beau du coin. C’est ce qui lui confère une riche diversité de paysages et qui en fait l’un des plus jeunes départements de France.

Les gorges de l’Aveyron

Énorme coup de cœur pour ce magnifique coin à l’est du Tarn-et-Garonne. Les Gorges de l’Aveyron sont labellisées Grands sites d’Occitanie, un label qui récompense le travail pour préserver et valoriser les superbes sites, le tout en combinant tourisme harmonieux avec croissance économique et développement durable. L’Aveyron naît dans le département voisin mais c’est bien en Tarn-et-Garonne que la rivière offre ses magnifiques gorges sauvages calcaires. Pour la petite anecdote, on recense plus de 1 000 grottes et abris dont trois datent du Paléolithique supérieur. De quoi nous rappeler notre escapade dans le Périgord Noir en Dordogne. Les Gorges de l’Aveyron sont la promesse d’une nature préservée et de vues superbes. On vous y emmène !

Le village médiéval de Bruniquel

Après 6 h de trajet en voiture, le long de l’A20 qui offre de beaux panoramas sur les départements traversés, c’est dans le joli village médiéval de Bruniquel que commence notre séjour en Tarn-et-Garonne.

Arrivées en fin de journée, nous posons notre valise pour une nuit à l’étape du château. Oriane et Cédric ont repris cette chambre d’hôtes juste avant la pandémie après avoir quitté la région parisienne pour la chaleur et le calme du village. Oriane avait de jolis souvenirs par ici chez ses grands-parents. Très accueillants, ils offrent quelques chambres à la décoration assez sommaire mais bien équipées (comptez 80€/nuit). À l’heure du dîner, nous avons opté pour le couvert sur place. La table est bonne, locale, de saison et fait la part belle aux spécialités régionales, notamment à base de canard (évidemment, nous sommes dans le sud-ouest 😉 ). La vue sur les toits de Bruniquel et la nature environnante ont formé le cadre d’un dîner parfait ! Comptez 25€ le repas par personne, un excellent rapport qualité/prix.

C’est à la nuit tombée, quand la fraîcheur arrive (il faisait tout de même 28°c), que nous avons arpenté Bruniquel, labellisé plus beaux villages de France. Le village est une cité médiévale perchée composée de ruelles pavées en étages qui grimpent sec pour rejoindre le château qui le domine.

Les maisons sont en pierre calcaire et joliment fleuries avec rosiers grimpants, lilas et jasmins. Village qui a connu un essor fort au Moyen-âge grâce au commerce du lin, du safran et du chanvre, Bruniquel est une étape incontournable de votre séjour. Nous l’avons parcouru en long, en large et en travers et on le dit tout de suite : c’est le village coup de cœur de notre séjour en Tarn-et-Garonne.

Randonner autour du village en suivant le Cabéou

Le Tarn-et-Garonne se découvre le nez en l’air, au rythme des nombreux chemins de randonnées. Et l’un des plus sympas pour découvrir les Gorges de l’Aveyron, c’est le circuit du Cabéou. Il part du village de Bruniquel, juste à côté de la chambre d’hôtes l’étape du château. Il vous fait passer dans une forêt sèche un peu mystique. Au bout de la randonnée, la vue sur les gorges est magnifique.

À l’heure du déjeuner, nous voilà Chez Pigassou dans le centre de Bruniquel. Véronique est la petite-fille du maître bottier du village et a réalisé son rêve en ouvrant ce restaurant dans l’ancienne cave de son grand-père. Et ici, ce n’est pas qu’un simple restaurant. C’est également une épicerie fine avec un éventail des produits du territoire et un espace décoration neuf et brocante à l’étage. En plus de super bien manger (du canard oui encore), nous avons adoré l’ambiance qu’a su créer Véronique en ce lieu. Une très belle adresse à Bruniquel.

Autour du village de Saint-Antonin-Noble-Val

À quelques kilomètres de Bruniquel sur la route pour rejoindre le village de Saint-Antonin-Noble-Val, bifurquez sur la gauche pour emprunter la route de la Corniche. Les paysages donnant sur les Gorges de l’Aveyron, avec la rivière en contrebas sont sublimes. On comprend que les hommes aient creusé des balcons dans la roche pour en apprécier la beauté. On avoue, que nous aussi, on a pris un peu de temps pour admirer la vue.

Aux alentours, deux autres points de vue immanquables : le Belvédère du Roc d’Anglars et le point de vue du Cirque de Bône. Charlotte s’en est donnée à cœur joie avec les photos.

Balade dans Saint-Antonin-Noble-Val

Cité médiévale incontournable des Gorges de l’Aveyron, Saint-Antonin-Noble-Val se découvre à pied en flânant dans les ruelles sinueuses à l’ombre des belles maisons en pierre. C’est l’une des plus vieilles cités de la région. Sa halle couverte et sa superbe Maison Romande de 1150 sont à voir. Le must étant de s’asseoir à la terrasse d’un café sur une placette et d’apprécier l’ambiance. Si vous avez le temps, prenez ici un canoë pour descendre les Gorges de l’Aveyron.

L’expérience tente safari en Tarn-et-Garonne : bienvenue chez Le Camp

C’est sûrement l’expérience de logement la plus insolite que nous ayons faite en France : dormir dans une tente safari. Au milieu d’un terrain boisé, 7 magnifiques lodges africains installés sur des plateformes en bois accueillent les voyageurs avides d’aventure. Les propriétaires, Claire et Nigel, britanniques, se sont largement inspirés de leurs expériences dans l’hôtellerie au Kenya pour recréer dans le Tarn-et-Garonne cette parenthèse exotique. Et ça marche !

Nous qui avons passé quelques nuits au cœur des parcs kenyans en janvier 2021, nous avons adoré retrouver les sensations de dormir dans la nature. D’autant que nous avons été bercées par les grenouilles qui pataugent dans l’une des toutes premières piscines naturelles européenne. Et pour ceux qui ne connaissent pas le terme de piscine naturelle (nous étions comme vous), il s’agit d’une piscine avec un filtrage naturel grâce aux algues. Elle est donc saine, sans produits chimiques et accueille aisément de nombreuses grenouilles. Eh oui, nous avons donc nagé avec les grenouilles 😉 .

Le lodge Bamburi que nous avons occupé est conçu pour 4 couchages avec un lit double et deux lits simples. Les sanitaires sont accessibles dans un bungalow juste à côté (propre et bien aménagé). Vous pourrez également profiter d’une cuisine extérieure commune à tous les lodges, bien équipée avec des espaces dédiés pour chacun. Nous y avons pique-niqué le soir avec les bons produits du coin que nous avions acheté à Saint-Antonin-Noble-Val. Tout est prévu pour limiter l’impact des activités sur la nature (gestion de l’eau, tri des déchets…). Il faut compter 180€/nuit.

Le Camp, c’est donc ce que l’on appelle du Glamping, un camping de luxe écoresponsable ! Une adresse coup de cœur idéal pour les couples comme pour les familles ! Claire, on peut revenir quand ? 🙂

À la confluence du Tarn et de la Garonne

Notre escapade se poursuit à l’ouest du département entre le Tarn et la Garonne.

Vivre l’expérience vélo sur le canal des deux mers

Et pour cette nouvelle journée, nous sommes à Saint-Nicolas-de-la-Grave, précisément sur la base de loisirs. Nous y déposons la voiture et allons retirer nos montures pour la journée : de beaux vélos électriques. Ici, vous pouvez louer sur réservation votre vélo toute l’année. Et c’est parti pour 14 km de vélo sur le canal des deux mers entre Saint-Nicolas-de-la-Grave et Valence d’Agen.

Le canal des deux mers, de l’Atlantique à la Mer Méditerranée, est un itinéraire cyclable de 750 km. Sur cette voie verte à l’ombre des platanes, tout est synonyme de détente et de slow tourisme. C’était la plus chaude journée de notre séjour avec 35°c au thermomètre, cette balade était donc parfaite.

Si vous voyagez à vélo, repérez le logo vert Accueil Vélo. Porté par France Vélo Tourisme, c’est le label qui assure un accueil aux cyclistes partout en France. Un établissement Accueil Vélo se trouve à moins de 5 km d’un itinéraire touristique cyclable. Franchement, on tenterait bien plusieurs jours à vélo.

À Valence d’Agen, nous avons déjeuné à l’hôtel-restaurant Le Tout va bien. Une brasserie traditionnelle où tout est bon, de saison et local. Après cette pause, on repart vers l’un des plus beaux villages de France : Auvillar.

Auvillar, village perché et plus beau village de France

Entrez par la porte de l’horloge et partez à la découverte du cœur historique du village d’Auvillar. Sa magnifique halle circulaire qui trône au milieu de la place triangulaire est classée monument historique avec ses 20 colonnes de style toscan. À l’intérieur, on peut lire le nom de plusieurs céréales qui y étaient vendues.

Auvillar illustre parfaitement ce qu’étaient les villes marchés avec leur port fluvial en pays Occitan. Délaissée car à l’écart de la voie de chemin de fer et du canal des deux mers, Auvillar a décliné avant de devenir une halte agréable sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Ne manquez pas l’église Saint-Pierre au cœur du village.

En Tarn-et-Garonne, vous êtes sur l’un des 4 chemins de pèlerinage en France de cette randonnée mythique : la Via Podiensis. Étape importante de pèlerinage catholique, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle sont de beaux itinéraires balisés entre découverte historique, voyage intérieur et itinérance douce. D’ailleurs de plus en plus de voyageurs sur les chemins de Saint-Jacques ne sont pas poussés par la foi catholique mais par une quête de sens, de rencontres, de déconnexion et de beauté des paysages. 200 000 personnes cheminent chaque année sur les chemins français de Saint-Jacques. En Tarn-et-Garonne, Lauzerte est le premier village avant Moissac et Auvillar. Environ 25 kilomètres séparent deux haltes. Une sacrée manne touristique pour les villages traversés.

Chaque année depuis 28 ans maintenant, Auvillar organise un concours de sculptures. Le lauréat a l’honneur de voir son œuvre achetée par la commune et exposée sur l’un des bâtiments de la ville. Il faut donc lever le nez pendant votre balade autour des belles maisons à encorbellements pour les retrouver.

Dans votre visite, ne manquez pas l’ancien couvent des Ursulines qui a été réhabilité pour accueillir l’office de tourisme. La vue sur la Garonne est magnifique. Vous pourrez également y piocher une pensée écrite par un pèlerin. Je peux vous dévoiler la mienne : « Je suis la seule personne responsable de ma vie et de mon bonheur ». La juste pensée de mon état d’esprit en cette année 2022.

En milieu d’après-midi nous repartons à vélo sur le canal des deux mers vers la base de loisirs de Saint-Nicolas-de-la-Grave.

Calme et volupté au cœur des éléments

Là, nous avons une belle adresse à vous recommander : la chambre d’hôtes Au cœur des éléments. Séverine et son époux proposent deux chambres (terre et air) et trois suites (feu, eau et quintessence) dans cette belle et grande maison bourgeoise de 1820.

Nous avons eu le grand bonheur de loger dans la suite Quintessence, du nom de ce cinquième élément qui unifie les quatre autres. Une suite décorée dans les tons blancs et beiges donnant sur une terrasse privée vue jardin avec un escalier privatif qui descend vers la piscine. Raffinée et subtile, la suite Quintessence porte délicieusement son nom. Sur place, la piscine dans le jardin est agréable, surtout par 35°c lors de notre passage. Séverine propose pour le dîner des planches fromage/charcuterie, uniquement composées de bons produits locaux. Les propriétaires sont charmants et aux petits soins, au cœur des éléments est une chambre d’hôtes exquise. Comptez 145 €/nuit pour la suite.

La jolie ville de Moissac

Étape majeure de Compostelle, Moissac est une ville très agréable à parcourir à pied. Mais si on vient ici, c’est pour visiter son abbaye et son cloître inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1998.

Saint-Pierre de Moissac est au XIème siècle, l’une des plus importantes seigneuries du sud-ouest de la France. Grand centre culturel, elle accueillera pendant plus de 1 000 ans des moines bénédictins. L’église et le cloître ont fait partie de la première liste d’édifices classés Monuments Historiques en 1840. Malheureusement, cela n’a pas empêché la construction d’une voie ferrée juste derrière le cloître. Pour l’anecdote, lors de notre visite, j’ai même sursauté lors du passage du train, par la rapidité et le bruit de son passage. Bref, on est quand même en présence d’un chef-d’œuvre de l’art roman du XIIème siècle.

Le cloître est l’un des plus grands et mieux conservés de l’époque romane. Célèbre pour la variété et la richesse de son décor sculpté qui se déploie sur 8 piliers et 76 chapiteaux, tous différents. L’endroit est impressionnant et l’ambiance assez mystique. On a vraiment beaucoup aimé. Côté abbaye, le portail sud de l’église est un des plus grands portails romans mais aussi un des plus abondamment sculptés. Il évoque plusieurs scènes de l’Évangile. Bon à savoir : l’entrée dans l’abbaye Saint-Pierre de Moissac est gratuite mais l’accès au cloître est payant. Comptez 6,5 €/pers.

Faire le plein de produits locaux

Une adresse à vous recommander : Primeur et Saveurs du terroir, en face de la mairie et à quelques mètres à peine de l’abbaye. Les étals regorgent de bons produits du Tarn-et-Garonne mais également des départements alentours. Nous avons pu faire le plein de spécialités régionales : terrines de canard, foie gras de canard, confit de canard, rillettes de canard… Vous avez compris le concept, on a rapporté du canard du sud-ouest 🙂 .

Pour prendre de la hauteur et avoir une vue panoramique sur la ville, rendez-vous au point de vue du Calvaire. Accessible en voiture ou à pied depuis le village.

L’insolite du coin

Un pont-canal, vous connaissez ? C’est juste à côté de Moissac que vous pouvez découvrir le pont-canal du Cacor, un ouvrage d’art assez spectaculaire datant de la fin du XIXème siècle. Un pont qui permet aux bateaux circulant sur le canal latéral à la Garonne d’enjamber d’autres bateaux qui naviguent sur le Tarn. Nous n’avions jamais vu cela !

Dîner et loger à Moissac

Pour dîner on vous recommande Le Moulin de Moissac pour sa jolie terrasse sur le Tarn et ses assiettes bien du sud-ouest. J’ai tenté le menu tout canard et c’était délicieux !

Pour passer la nuit, rendez-vous à la Maison du Pont Saint-Jacques chez Christine et Michel. Cette chambre d’hôtes au bord du canal des deux mers est logée dans une grande maison rénovée du XIXème siècle. L’accueil est sympathique, la grande chambre confortable et le petit-déjeuner copieux de produits régionaux servis sur la terrasse au top ! Comptez 73 €/nuit.

Dans le Quercy blanc

Changement de décor pour la fin de notre séjour dans le Quercy blanc, au nord du département.

Le village de Lauzerte

Troisième village labellisé « Plus beaux villages de France » que nous découvrons pendant notre séjour dans le Tarn-et-Garonne, Lauzerte est également une bastide. Une bastide, pour les non-initiés, c’est un type de plan de village qui se distingue par sa forme urbaine innovante, en damier. L’église y perd sa place privilégiée au cœur de la cité, au profit de la place du marché. C’est autour de la place centrale à arcades que s’organise la bastide. Sur la place des Cornières, un coin est relevé. Il s’agit d’une création artistique de Jacques Buchholtz, céramiste d’art. Je n’en dis pas plus, c’est assez insolite !

Étape remarquable du pèlerinage de Saint-Jacques, Lauzerte est aussi un village perché qui offre de magnifiques vues sur la campagne environnante. Ne manquez pas une visite chez Didier Soligon, qui ouvre son atelier de forgeron d’art aux visiteurs de passage à Lauzerte. Quel talent !

Un savoir-faire ancestral oublié : les champs de lavandes dans le Quercy

Entre 1950 et 1970, la lavande du Quercy représentait 10 % de la production française. Loin derrière la Provence, il ne restait plus qu’un producteur distillateur jusqu’au milieu des années 2000. Depuis 2006, c’est Hélène et Xavier à Touffailles qui font revivre ce savoir-faire ancestral des plantes à parfum. Plusieurs hectares de lavandes et de lavandins produits en agriculture biologique sont récoltés et distillés à la ferme Lacontal après la floraison à la mi-juin. Ces amoureux de lavande accueillent les visiteurs tous les après-midi à la ferme.

Soyez respectueux de leur travail en allant vous présenter à votre arrivée et en demandant l’autorisation de vous rendre dans les champs. Ils vous parleront avec passion des différences entre lavande fine, classique et lavandin. Une petite brochure explicative vous accompagnera jusque dans le champ. Et pour faire perdurer le bonheur de voir ces champs violets dans le sud-ouest, une petite boutique sur place vous permettra d’acheter vos huiles essentielles et même des meringues à la lavande (testées et approuvées).

Le Lac vert pour notre plus grand bonheur

Un petit air de Canada ou de Savoie dans le Quercy ? Rendez-vous à Montpezat-de-Quercy autour de ce lac de pêche, particulièrement photogénique. Une pause nature où nous avons pique-niqué. Par contre l’accès n’est pas facile et malheureusement les bords du lac ne sont pas très propres à cause des détritus laissés par les gens de passage… Dommage !

Il faudra revenir pour !

Une fois n’est pas tellement coutume… Nous n’avons pas visité de domaines viticoles ni rencontré de vignerons pendant ce séjour. Et pourtant le territoire du Tarn-et-Garonne ce n’est pas moins de six appellations. 4 AOP : Fronton, Saint-Sardos, Brulhois, Coteaux du Quercy. 2 IGP : Lavilledieu, Coteaux et Terrasses de Montauban. On a goûté ces bons vins généreux. Et si vous venez en septembre, goûtez aux grappes de chasselas de Moissac, ce fameux raisin de table blanc et sucré.

Le Tarn-et-Garonne est une destination d’escapade souvent méconnue mais qui offre une variété d’hébergements possibles et de nombreuses activités d’évasion pour des vacances au top ! On se dit que découvrir le département en van, ce serait une sacrée aventure pour encore plus de slow life.

Cet article a été réalisé en partenariat avec Tarn-et-Garonne Tourisme qui nous a invité à découvrir son beau département. Un grand merci à Lauriane pour la préparation de cette escapade et à tous les passionnés rencontrés qui nous ont transmis le goût de leur territoire.

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