Magnifique vue sur les falaises bretonnes le long de la balade du fort des Capucins sur la presqu'île de Crozon
Bretagne

Bretagne : une semaine dans le Finistère sud

En Bretagne, là-bas au bout du bout, à la fin des terres, nous voici dans le Finistère. 1er département maritime de France avec ses 1 250 km de côtes (1/4 du littoral français), le Finistère a accueilli une partie des vacances estivales d’enfance de Marie-Catherine. Des années, voire une décennie que nous voulions venir le découvrir. C’est donc à la saison des belles journées de mai que nous avons profité d’un pont pour nous y rendre en famille avec le papa de Marie-Catherine qui lui, a grandi ici.

Le Département est grand et en 5 jours sur place, nous avons fait le choix de ne parcourir que le Finistère sud. Côtes fouettées par les vents, longues plages de sable blond, Bretagne authentique à l’état brut, nous avons organisé ce séjour en itinérance. En pointant ce que nous avions envie de voir sur une carte et en limitant le nombre de kilomètres en voiture. Nous avons vu beaucoup de choses en peu de temps, on vous conseille donc d’étirer un peu votre séjour pour avoir le temps d’en profiter !

« Degemer mat e Penn-ar-Bed » – Bienvenue dans le Finistère !

Carte road trip Finistère Sud

Quimper, capitale de la Cornouaille

Ce road trip commence dans la ville Préfecture du Finistère, j’ai nommé Quimper ! Capitale historique de la Cornouaille (une ancienne division politique et religieuse de la Bretagne), cette jolie ville aux maisons à pan de bois et aux ruelles médiévales s’étire le long de l’Odet qui la traverse.

Découvrir le vieux Quimper

Nous avons flâné dans le centre historique, le long de la rue Kéréon, de la rue Elie-Fréron et jusqu’à la place au Beurre (ça ne s’invente pas). C’était ici au XVIIIème siècle que les chanoines de la cathédrale vivaient dans de belles maisons en pierre ou à pans de bois.

Vous ne pourrez pas manquer la cathédrale Saint-Corentin, l’une des trois plus anciennes cathédrales gothiques de Bretagne. Édifiée au XIIIème siècle et achevée sous le second empire (soit deux siècles plus tard), c’est un élément architectural de première importance pour la ville. Quimper fût une ville fortifiée avec une enceinte de 1 500 m de long et quatre portes principales. Contrairement à Saint-Malo ou Vannes, deux autres places fortes bretonnes, Quimper a progressivement abandonné et démonté ses remparts.

Dans le Finistère : manger des crêpes bien sûr !

C’est aussi dans le centre que nous avons trouvé l’une des plus vieilles crêperies de la ville : Au Vieux Quimper. Si vous aimez l’authentique, vous voici transporté dans le salon de votre arrière grand-mère bretonne avec meubles bretons, assiettes en faïences Henriot (on vous en reparle) et murs en pierre. Les crêpes sont fines et croustillantes « bien Kraz » accompagnées de cidre ou de lait ribot. De quoi commencer notre séjour de la meilleure des façons : en mangeant !

Dans le quartier de Locmaria à la découverte de l’art local : la faïence

À seulement 15 minutes à pied de la cathédrale, le long de l’Odet, nous voici dans le quartier de Locmaria où se situait l’ancien port de Quimper. Si on vous dit « Quimper », j’imagine que l’une des premières images qui vous vient en tête est le fameux bol breton ! Celui avec deux oreilles, un petit breton ou une petite bretonne peints au fond et votre prénom dessus. Quel enfant n’a pas tenté de bouger le tourniquet pour trouver son bol prénom ? Moi la première mais j’étais déçue à chaque essai ! Mais si je vous parle bol breton, c’est pour vous parler faïence.

Le musée de la faïence

Voilà un musée que nous n’avions pas fléché lors de la préparation de notre séjour en Finistère sud. Et c’est mon papa qui a proposé de s’y rendre. Installé dans une ancienne faïencerie, le long de l’Odet, le musée de la Faïence retrace l’histoire de la faïencerie de Quimper depuis 1699. Le musée est composé de 8 salles d’exposition passionnantes ! Du pourquoi de la faïence à Quimper, du savoir faire au style quimpérois, 500 pièces dont certaines uniques (autour de l’Art nouveau et de l’Art déco) sont présentées le long d’un parcours muséal moderne. Car oui, il n’y a pas que le bol breton ! Nous y avons passé une bonne heure et sommes sorties enchantées. On vous recommande ++ lors de votre passage à Quimper. Comptez 5 € l’entrée / pers.

À quelques pas de là, passez chez Henriot, l’une des plus anciennes manufactures françaises. C’est aujourd’hui la seule faïencerie bretonne à fabriquer et à décorer entièrement à la main toutes ses faïences. Chaque pièce est réalisée à main levée et signée par l’artiste. Si vous voulez votre bol prénom, qui est tout de même, LE souvenir incontournable de toutes vacances en Bretagne, il faudra le commander et compter deux semaines de délai et 40 € pour un bol. L’artisanat de haut vol à un prix.

Juste en face, le jardin du Prieuré est un jardin remarquable dans l’esprit des clos médiévaux du XVème siècle avec de nombreuses plantes aromatiques et plantes médicinales. Un très bel endroit où flâner en bordure de l’Odet.

Douarnenez, berceau du Kouign-amann

À 30 km au nord de Quimper, nous rejoignons Douarnenez. Petit port de pêche, la ville mérite un arrêt pour son musée de bateaux à flot et surtout pour goûter le meilleur kouign-amann de Bretagne. Ce riche gâteau breton à base de pâte feuilletée est la grande spécialité locale. C’est dans sa boulangerie de Douarnenez que mon ancêtre, Monsieur Scordia a créé l’un des gâteaux les plus beurrés au monde. Et oui, vous avez bien lu, il s’agit de mon ancêtre ! Quelle fierté de descendre du beurre 😉 . Pour vous régaler, rendez-vous à la boulangerie des Plomarc’h chez Sylvie et Thierry Lucas.

À l’heure de l’apéro, nous sommes descendues sur le port du Rosmeur pour s’attabler à la terrasse d’un vieux café. Pour le dîner, nous avons opté pour l’Athanor, 1 rue Henri Barbusse, à l’ambiance ibérique pour une paella de la mer copieuse. Pour clôturer cette première journée dans le Finistère, nous avons pris une chambre à l’Hôtel de France, 4 rue Jean-Jaurès. Hôtel confortable avec un bon rapport qualité prix.

Locronan, l’un des plus beaux villages breton

Nouvelle journée dans le Finistère sud. Nous quittons Douarnenez pour rejoindre Locronan classée « Petite cité de caractère ». Le village possède une totale unité architecturale composée de superbes demeures et hôtels particuliers des XVIIème et XVIIIème siècle. Baladez-vous dans les ruelles pour apprécier tout le charme de la Bretagne. Lors de notre passage, Locronan organisait ses fêtes médiévales. De quoi croiser bardes, mages et korrigans !

Manger à la plus belle table de Bretagne : l’Auberge des Glazicks

À la table d’Olivier Bellin, nous avons passé le plus beau moment de gastronomie de notre vie. Chef breton, deux étoiles au Guide Michelin, il perpétue la tradition familiale (3ème génération de restaurateur) dans son établissement à Plomodiern. Dans ce petit village breton, l’intérêt est dans l’assiette. Olivier Bellin, Breton amoureux de ses origines allie toute la complexité des produits de la mer et ceux de la terre dans une assiette lisible, cohérente et représentative de la région avec pour fil conducteur le blé noir. Le service est de haute volée sans le côté guindé de ce type d’établissement. Un moment de gastronomie exceptionnel.

Menez Hom : le point culminant de Bretagne

Après avoir bien mangé, nous avons apprécié prendre l’air à 330 m de hauteur (rien que ça !) sur cette montagne de grès qui offre un magnifique panorama à 360°. Le paysage sauvage et aride lui donne des airs de Connemara en Irlande. Lors de notre passage, les amateurs de parapente et de planeurs radiocommandés s’étaient donnés rendez-vous.

Une journée sur la presqu’île de Crozon

Entre la baie de Douarnenez et la rade de Brest, nous voici sur la presqu’île de Crozon. Tout ce bout de terre est classé Parc Naturel Régional d’Armorique, sanctuaire naturel et préservé du Finistère sud. Si vous êtes amoureux de falaises escarpées, de landes sauvages et de mer bleue, vous allez être servi. Nous avons eu une chance folle de parcourir la presqu’île par beau temps. Tous les étés, c’est sur cette pointe du bout du monde que s’organise l’un des grands festivals de musique de Bretagne : « Le festival du Bout du Monde de Crozon ».

En arrivant du Menez Hom, nous avons fait route jusqu’à Roscanvel et la Pointe des Espagnols pour une vue dégagée sur la rade de Brest. La tour fortifiée par Vauban servait de poste stratégique d’observation. Lors de notre passage, nous n’avons pas pu y accéder en raison de travaux.

À quelques kilomètres, nous sommes au fort des Capucins. Petite balade très sympa le long de la falaise sur un chemin balisé. Et surtout, un paysage grandiose !

Camaret-sur-Mer

Nous avons poursuivi notre route sur la D 355 vers Camaret-sur-Mer. Le temps était beau, nous en avons donc profité pour nous rendre à la Pointe de Dinan. La balade sur la pointe grimpe un peu mais vaut vraiment de s’y attarder. Les images parlent d’elles-mêmes !

Nous avons adoré l’ambiance de Camaret-sur-Mer, ancien port langoustier reconverti dans le tourisme et la plaisance. Le panorama attablé à la terrasse d’un bar sur le port est un must. Pour cette seconde soirée en Finistère sud, nous avons dîné et logé au Styvel, un établissement familial depuis 3 générations. Les chambres sont simples et pratiques, un très bon rapport qualité prix pour la chambre avec vue sur le port.

Le lendemain matin, changement d’ambiance niveau temps. Nous avons fait un premier stop sur la pointe de Pen-Hir. Le panorama est sublime avec ses falaises déchiquetées qui plongent dans la mer. Sur place, une croix de Lorraine rappelle le sacrifice des Bretons pour la France libre et les fameux Tas de pois, trois immenses rochers s’observent depuis cette pointe. Le décor magnifique nous a un peu rappelé celui des aiguilles de Port Coton à Belle-île-en-Mer.

Ne manquez pas Morgat, petite station balnéaire à côté de Crozon. Les jolies villas « belle époque » et les beaux hôtels en bord de plage ont été construits par Armand Peugeot au début du XXème siècle pour loger ses cadres en vacances. Un petit air de Normandie en Bretagne.

Le Cap Sizun

On change de pointe. Après la presqu’île de Crozon qui était le plus au nord de notre escapade, nous redescendons la baie de Douarnenez pour rejoindre le Cap Sizun au cœur de la réserve naturelle qui porte le même nom. Ici, le Finistère porte bien son nom, puisque nous sommes à la fin des terres, le bout du bout !

La Pointe du Van et la Baie des Trépassés

Journée sous la grisaille et sous la brume mais nous sortons tout de même de la voiture pour rejoindre la Pointe du Van. Un lieu sauvage et assez reculé qui mérite une bonne vingtaine de minutes de marche pour rejoindre sa pointe. Les falaises à 70 m de hauteur marquent l’entrée de la baie de Douarnenez. Et, par beau temps, la vue sur la Pointe du Raz est magnifique (il semblerait).

À l’heure du déjeuner, nous avions réservé à l’Etrave, sur la route de la pointe du Van. Sa réputation dans le coin n’est plus à faire. C’est l’endroit par excellence pour déguster le fameux homard bleu au chaudron pêché sur les côtes bretonnes. Et la recette secrète se transmet de génération en génération depuis 1947. Charlotte et mon père ont partagé trois homards à deux et moi, j’ai opté pour les langoustines royales. C’était de la folie cette adresse !

Oui, à gauche, ce sont des bavoirs 😆

Après le repas, nous avons profité d’une accalmie pour une longue balade sur la plage de la baie des Trépassés. Entre la pointe du Van et la pointe du Raz, la baie des Trépassés est une grande et magnifique plage de sable blond. Paradis des surfeurs, elle doit son nom à la mer qui y déposait régulièrement les corps de naufragés. Malgré cette référence morbide, cela reste un coup de cœur de notre séjour.

L’échec de la visite de la pointe du Raz

Bout du monde mythique, la pointe du Raz est le point le plus à l’ouest de France, le plus avancé du Cap Sizun. Cela devait être l’un des points d’orgue de notre escapade. Raté, le brouillard nous en a empêché. Notez que le parking sur place est payant (8 €) et qu’à la belle saison le lieu est beaucoup trop fréquenté.

C’était censé être la « vue mer » du café dont on vous parle ci-dessous…

Sur le chemin retour, on fait une pause café chez Monsieur Papier, un concept store à la fois librairie, papeterie et salon de thé. Un endroit très sympa qui applique cependant les prix parisiens en boutique ;). On continue donc notre balade en descendant le long de la côte de la Baie d’Audierne.

Au bout du Finistère sud dans le Pays Bigouden

Changement d’ambiance. On quitte les falaises escarpées et la côte déchiquetée pour une Bretagne brute, des petits ports de pêche, de plaisance et quelques stations balnéaires.

Prendre les vagues à la Torche

C’est le point de ralliement en Finistère sud de tous les surfeurs bretons : la pointe de la Torche. Pour nous qui ne sommes jamais montées sur une planche, nous avons surtout apprécié le spectacle qui se passe sur l’eau ! Le site accueille d’ailleurs des compétitions internationales de sport de glisse. Juste à gauche de la plage, faites le tour de la pointe de la Torche à pied. Une jolie balade pour voir la mer déchainée.

Penmarc’h, la pointe la plus au sud du Finistère

En fin de journée, nous rejoignons Penmarc’h, une commune à la pointe du Pays Bigouden qui regroupe plusieurs quartiers très différents. Au centre de Penmarc’h, le quartier Saint-Guénolé est un important port de pêche artisanale spécialisé dans la sardine, le thon et la langoustine. Ne manquez pas de vous arrêter dans les conserveries artisanales de poisson : Océane alimentaire et la Compagnie Bretonne pour faire le plein de bonnes choses.

Marie-Catherine chez Marie-Cath’ à Penmarc’h

À l’heure de l’apéro, il y a une adresse incontournable à Penmarc’h, la paillote de plage « Chez Marie-Cath' ». Alors évidemment pour moi, c’était un passage obligatoire. Pour dîner, nous sommes passés en face au TomCafé et on s’est régalés.

À Penmarc’h, nous avons logé à l’hôtel en bord de plage le Stereen, dans une très jolie chambre avec vue mer. Mention spéciale pour le petit-déjeuner local qui propose d’excellents kouigns (entre la crêpe et le pancake).

Sur les traces de mon enfance à l’île Tudy

C’est dans la maison de vacances de mes grands-parents qui vivaient à 55 km de la mer que j’ai passé beaucoup de mes étés. 15 ans ont passé depuis ma dernière venue ici, alors même si la maison n’est plus dans la famille aujourd’hui, il me tenait à cœur de parler de mes souvenirs à Charlotte. L’île Tudy est un petit bourg avec de belles maisons blanches et une longue plage de sable. Le petit port piéton est charmant. C’était chouette de se remémorer de bons souvenirs d’enfant !

Un incontournable du Finistère sud : le retour de pêche au Guilvinec

Le Guilvinec, c’est le clou de notre escapade dans le Finistère sud ! Troisième port de pêche de France, toute l’activité de la ville tourne autour du métier de marin-pêcheur. À 16h30, nous étions sur la terrasse d’Haliotika pour être aux premières loges du retour des chalutiers côtiers. Le temps était magnifique, les bateaux chargés de langoustines. Un spectacle incontournable. L’occasion aussi de se rappeler la rudesse de ce métier. Si vous avez plus de temps que nous, ne manquez pas la visite d’Haliotika – Cité de la Pêche qui met à l’honneur le monde de la pêche et de la mer. Et puis, allez prendre un verre du côté de Léchiagat au bar les Brisants, une institution dans le coin.

Tout savoir sur les algues avec Scarlette le Corre

Après le retour de pêche, nous avons rendez-vous avec Scarlette le Corre. Première femme marin-pêcheur au Guilvinec, elle pratique une pêche artisanale, côtière et raisonnée. Il y a 25 ans, elle est devenue algocultrice, cueilleuse de la mer, cueilleuse d’algues.

Au Guilvinec, dans son atelier, elle transforme ses algues avant de les conditionner et de les vendre en direct. Elle propose également, des ateliers de cuisine pour faire découvrir tous les bienfaits de ces algues pour la santé. Nous avons participé à un de ces ateliers « infos algues et cuisine » d’une durée de 2 heures.

Quelques chiffres sur les algues !
  • Il existe dans le monde plus de 100 000 espèces d’algues différentes dont + de 700 se trouvent dans le Finistère sud mais seules 145 d’entre elles sont consommées et 24 sont autorisées en France ;
  • 50 à 70 % de la masse d’oxygène sur terre est produite par les algues ;
  • La France se hisse au 4ème rang des pays producteurs d’algues dont le Finistère assure 90 % de la production.
  • 3 kg : c’est le poids d’algues que nous mangeons tous chaque année. Vous êtes étonnés ? Nous l’étions aussi ! Mais les carraghénanes, alginates et l’agar ont des propriétés épaississantes, gélifiantes et stabilisantes. Ce sont donc les reines de l’agroalimentaire et de la cosmétique.

Dans son atelier, nous avons appris à reconnaître les algues, à en connaître les propriétés et à les déguster : fraîches ou sèches, en tartare, en moutarde et même dans un caramel au beurre salé. Moi qui n’en n’avait jamais apprécié le goût, j’ai découvert un monde ! Nous sommes reparties enchantées d’avoir rencontré une femme formidable et les bras chargés de tous ses bons produits. Atelier sur réservation auprès de Scarlette 02 98 58 78 98 ou au 06 15 17 80 56 – 12 €/pers.

Le pays Fouesnantais

On quitte le pays Bigouden et Scarlette au Guilvinec pour rejoindre Bénodet. Nous sommes reçues par Carole et Pierre « au 46 », une chambre d’hôte écologique et de charme. Le couple, qui a ouvert il y a seulement trois ans, s’offre le bonheur de la Bretagne après une vie à 1 000 à l’heure dans l’agroalimentaire et dans l’énergie. Ils ont tout repensé et retapé de façon écologique dans les règles de l’art et le bon goût. Pour notre dîner, nous avons opté pour la table d’hôte bio et végane. Nous avons tout aimé, la chambre confortable et décorée avec de belles pièces chinées ; une cuisine innovante, déroutante et savoureuse ; l’accueil de Carole et Pierre désireux de faire plaisir à leurs « passagers » comme ils aiment à le dire. Un coup de cœur que l’on vous recommande ++.

Pour notre dernière journée dans le Finistère sud, nous avons profité du grand soleil et de la beauté des criques autour de Bénodet. Première balade autour de la roche percée, de la plage de Lantecost et de la plage de Bot-conan. Des petits paradis à l’eau turquoise !

Rapporter le meilleur cidre du monde : le cidre de Cornouaille

Très humblement, les Bretons se sont octroyés le titre ! Ce nectar qui accompagne toutes les crêpes du coin, c’est le cidre pur jus de tradition : le cidre de Cornouaille. Nous sommes allées directement à la cidrerie de Menez Brug pour rapporter quelques bouteilles à la maison.

À l’heure du déjeuner, nous avions réservé au restaurant de la Pointe du Cap Coz, une très belle et bonne adresse avec vue sur l’estran à marée basse. C’est sur cette belle note gastronomique que se termine notre escapade en Finistère sud.

Kenavo ar wech all – Au revoir le Finistère et à bientôt !

Nos articles directement dans votre boîte mail 📩

2 Comments

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error: